Saisie d'échantillons corporels

Version datée du 15 juillet 2024 à 20:05 par AdminF (discussion | contributions) (Remplacement de texte : « \{\{En\|([^\}\}]+)\}\} » par « en:$1 »)
Cette page a été mise à jour ou révisée de manière substantielle pour la dernière fois March 2021. (Rev. # 11498)
n.b.: Cette page est expérimentale. Si vous repérez une grammaire ou un texte anglais clairement incorrect, veuillez m'en informer à [email protected] et je le corrigerai dès que possible.

Introduction

Des échantillons corporels ne peuvent être prélevés sans mandat lorsque le sujet n'y consent pas.[1]

Il existe plusieurs méthodes pour obtenir des échantillons corporels :

  • mandat général (art. 487);
  • Échantillon d'ADN (art. 487.05);
  • demande d'échantillon de sang (art. 320.28);
  • mandat de prélèvement sanguin (art. 320.29);
  • impressions corporelles (art. 487.092)

Un échantillon corporel peut également être obtenu avec consentement.[2]

  1. R c Tomaso, (1989), 70 CR (3d) 152 (*pas de liens CanLII)
  2. Voir Recherche de consentement

Saisie générale d'échantillons d'ADN (art. 487.05)

Saisie d'échantillons de sang dans le cadre d'enquêtes sur la conduite avec facultés affaiblies (320,28, 320,29)

Mandat d'impression d'empreinte corporelle (art. 487.092)

Obtention d'échantillons de sang par mandat général (art. 487)

Lorsqu'une infirmière prélève un échantillon de sang sur un patient dans le cadre de ses fonctions habituelles, la police peut obtenir un mandat pour saisir l'échantillon à titre de preuve.

Le sang prélevé par une infirmière dans le cadre d'une procédure hospitalière sera toujours protégé par une attente de confidentialité.[1]

Lorsqu'un agent ordonne à l'infirmière de conserver un échantillon de sang pendant une période au-delà de la durée prévue par l'hôpital, celui-ci sera effectivement placé sous la garde de la police.[2]

  1. R c Dyment, 1988 CanLII 10 (SCC), [1988] 2 SCR 417, par Lamer J
  2. R c Pike, 2010 NLTD 97 (CanLII), 918 APR 342, par Thompson J

Voir aussi